Impact de la décision médicale partagée

Ces dernières années, plusieurs études se sont penchées sur l’implication du patient dans le choix de son traitement : elle permettrait notamment d’éviter l’abus d’antibiotiques et tendrait à réduire l’anxiété du patient, plus en confiance quand il a été concerté pour un traitement. Toutefois, il a également été démontré qu’en consultation, un patient qui décrit ses symptômes serait interrompu au bout de 18 secondes en moyenne ! Une situation qui révèle que si les compétences relationnelles sont abordées lors des études de médecine, elles restent accessoires et peu évaluées, alors qu’elles s’avèrent primordiales pour une prise en charge orientée patient.

Retrouvez l’article paru dans le Figaro Santé à ce sujet.

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